Finalement l'été, c'est bien fini ! Il pleut le jour, il pleut le soir, il pleut la nuit. Mais où est donc passé le soleil ? De plus en plus se fait sentir le besoin d'avoir des petits plats chauds, voire d'hiver. Pour opérer une transition en douceur, je n'arrête pas de confectionner depuis quelques jours - en sorte d'ouverture du repas du soir - une tartine très simple. Ingrédients :
1 tranche de pain
Roquefort (le meilleur pour mois : Gabriel Coulet)
Tout d'abord, faire préchauffer le four Thermostat 7 (210°C). Couper une belle tranche de pain. Etaler dessus du Roquefort. Ne pas mettre de beurre, cela ne servirait à rien. Passer l'ensemble au four pendant une quinzaine de minutes.
Le succès de cette tartine (spéciale "pas envie de me décarcasser ce soir") tient à la qualité des deux ingrédients : le roquefort mais surtout le pain. Jamais il ne faudra utiliser du pain de mie. Il vaut mieux choisir un bon pain de campagne ou alterner selon ce que vous avez sous la main. Pour ma part, le choix est toujours très difficile grâce aux pains créés par Véronique Mauclerc (je ne saurais trop en faire de la publicité). Cette tartine a ainsi eu le bonheur d'être réalisée sur du pain au sésame, du pain au pavot, du pain à la farine de Kamut, du pain aux noix (exceptionnel !) et dernièrement sur mon péché mignon : le pain à l'emmental. Quand le roquefort rencontre l'emmental, cela donne cela :



Le voyage est toujours aussi palpitant. Arriver à 06h00 à la Gare du Nord. Passer les contrôles de sécurité puis grimper dans ce train rapide qui nous fera débarquer en plein centre de Londres à 08h30 heure locale. Et c'est alors parti pour une journée à se promener dans la capitale britannique, ses jardins, ses quartiers, ses musées et ses boutiques. Le retour a eu lieu le soir par le dernier TGV et quelques 2h30 plus tard et un passage sous la Manche, Paris.
Préchauffer le four à Thermostat 7 (210/220°C). Mélanger la farine et la levure chimique. Ajouter le beurre en morceau et mélanger la pâte avec la main jusqu'à obtenir une préparation sablonneuse. Ajouter alors le sucre et le sel, le lait et l'oeuf. Vous devez alors obtenir une pâte plutôt ferme. Ajouter enfin les raisins.


Par ce magnifique temps qui passe sur Paris, l'envie de soleil est de plus en plus forte. Résultat, seul moyen d'assouvir ce besoin : la cuisine. Récemment, j'ai décidé de me plonger - enfin - dans un livre de cuisine ramené d'un de mes récents voyages à Londres (chez Waterstone notamment !). 
Ingrédients :
De la betterave, Olivier de Serres indiquait en 1600 dans son théâtre d'agriculture et mesnage des champs ceci : "Une espèce de pastenades est la bette-rave, laquelle nous est venue d'Italie n'a pas longtemps. C'est une racine fort rouge, assés grosse, dont les feuilles sont des bettes, et tout cela bon à manger, appareillé en cuisine : voire la racine est rangée entre les viandes délicates, dont le jus qu'elle rend en cuisant, semblable à sirop de sucre, est très beau à voir pour sa vermeille couleur".
Dans un premier temps, il convient de faire cuire la betterave. Selon les personnes, deux types de cuisson sont possibles : à la cocotte minute ou au four. Une fois cuite, il faut la laisser refroidir puis la détailler en très fines tranches. Pour ma part, j'ai utilisé ma nouvelle
Pour ce premier post de "retour", j'ai décidé de m'arrêter sur un bon produit : le Noir de Bigorre. Connu de nom, je l'ai découvert réellement lors du dernier Salon de l'Agriculture. Depuis, deux beaux morceaux sont stockés dans le bac à légume de mon frigo.
Le Noir de Bigorre est encore produit et commence de plus en plus à apparaître sur nos tables. Il est issu d'une race de porc bien particulière : le porc Gascon. Il est entièrement noir, élevé en plein air à raison de moins de 25 porcs par hectare. Au final, chaque année, ce sont 4.000 bêtes qui sont transformées en jambon ou saucissons de très haute qualité.