tag:blogger.com,1999:blog-98696292024-03-13T19:46:17.861+01:00Un petit blog de gourmandisesBenoit Tabakahttp://www.blogger.com/profile/05364873892542724442noreply@blogger.comBlogger180125tag:blogger.com,1999:blog-9869629.post-45659106091601517972014-06-23T23:53:00.001+02:002014-06-23T23:54:39.607+02:00Le Clos Venturi, ce rosé aux goûts de Corse<p dir="ltr">Certains vont jusqu'à affirmer que c'est le meilleur rosé au monde. Ce rosé Corse est effectivement en tête de ces vins qui viennent égayer une après-midi passée non lieu d'un barbecue avec ses saveurs d'herbes de Provence enrobant une belle viande.</p>
<p dir="ltr">Le domaine est né en 1901 sous l'impulsion de Jean Vico et a été repris en 1989 par la famille Acquaviva-Venturi et depuis entièrement restructuré et modernisé. </p>
<p dir="ltr">Situé dans la zone de l'AOC Corse, il est le seul vignoble du centre de l’île de Beauté, situé entre 300 et 400 mètres d’altitude au pied d’aiguilles culminant à 2200 mètres d’altitude apportant de forts écarts de températures.</p>
<p dir="ltr">La composition de ce rosé étonne. Il est fait de 100% Sciaccarello. C'est un cépage autochtone de la région d'Ajaccio, bien adapté aux terres granitiques. Au final, cela nous livre un rosé coloré avec des notes salines avec de l'acidulé. Bien évidemment, agrumes et fruits rouges s'y retrouvent </p>
<p dir="ltr">A ouvrir en apéritif, au moment où l'on commence à faire chauffer les braises.</p>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="http://lh6.ggpht.com/-6nVSsChIQiM/U6iiB_o-KmI/AAAAAAADsDc/TtXG7-n4n8Y/s1600/IMG_20140623_213808.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"> <img border="0" src="http://lh6.ggpht.com/-6nVSsChIQiM/U6iiB_o-KmI/AAAAAAADsDc/TtXG7-n4n8Y/s640/IMG_20140623_213808.jpg"> </a> </div><div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<tr><td style="text-align: center;"><a href="http://3.bp.blogspot.com/-QLc3DaRgBU4/Uh0weKeuTxI/AAAAAAADkJk/t06AwWULG3s/s1600/IMG_2176.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="http://3.bp.blogspot.com/-QLc3DaRgBU4/Uh0weKeuTxI/AAAAAAADkJk/t06AwWULG3s/s1600/IMG_2176.JPG" height="212" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Vignobles de Cinque Terre, Italie</td></tr>
</tbody></table>
Et si l'exception culturelle française, cette part du patrimoine qui associe inéluctablement dans tous les esprits de Buenos Aires à Tokyo, ce produit à la France était en train de progressivement et lentement faiblir ? Il ne s'agit pas du cinéma mais bien du vin, ce patrimoine économique et culturel ; l'une des marques de fabrique de la France.<br />
<br />
Pendant 4 jours, s'est tenue à Vérone (Italie), le salon annuel des vignerons italiens. Le bio y était pour la première fois à l'honneur. Mais signe du temps, ce qui a marqué les esprits, ce sont les bons, les très bons, les excellents chiffres pour l'exportation des vins italiens.<br />
<br />
En 2013, la <b>barre symbolique des 5 milliards d'euros a été franchie</b>. La France demeure en tête avec un montant d'exportations proche des 7,6 milliards d'euros. Mais ce qui est intéressant, c'est les destinations qui sont de plus en plus demanderesses des Barolo, Nero d'Avola ou autres Brunello. L'Italie a réussi à gagner plus de 30% de parts de marché aux Etats-Unis, 36% en Allemagne ou 29% en Russie. La Chine demeure - notamment en raison de contraires douanières - hermétique à ces vins gorgés de soleil.<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="http://2.bp.blogspot.com/-Kz5KzPHH4ZQ/Uh0nDdvyIeI/AAAAAAADkFc/kgxKANeIF6E/s1600/IMG_2204.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="http://2.bp.blogspot.com/-Kz5KzPHH4ZQ/Uh0nDdvyIeI/AAAAAAADkFc/kgxKANeIF6E/s1600/IMG_2204.JPG" height="213" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Les vignobles en terrasses de Cinque Terre, Italie</td></tr>
</tbody></table>
<br />
Que cela signifie ? Comme dans de nombreux secteurs, notamment économiques, la France commence à être sérieusement concurrencée sur un des secteurs forts de son économie. Quand on discute avec des producteurs et que tous s'accordent pour dire que plus de 50% voire 80% de leur production est destinée à l'exportation, on peut identifier rapidement l'impact qu'une plus forte concurrence peut avoir sur leur propre activité. Et naturellement, les acteurs de la filière viti-vinicole devront s'organiser, communiquer, remonter une pente qui est de plus en plus glissante.<br />
<br />
La question est juste de savoir s'ils s'y prendront à temps.<br />
<br /><div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<a href="http://1.bp.blogspot.com/-gEeY31S2Ohw/U0AyuP6fhuI/AAAAAAADnos/e8vLUbotkY4/s1600/IMG_20140405_162406.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://1.bp.blogspot.com/-gEeY31S2Ohw/U0AyuP6fhuI/AAAAAAADnos/e8vLUbotkY4/s1600/IMG_20140405_162406.jpg" height="240" width="320" /></a></div>
Le poulet au gingembre est l'un des plats les plus populaires au Sud du Vietnam. Il se déguste classiquement avec du riz nature.<br />
<br />
La recette est relativement simple. Il s'agit de morceaux de poulets, plutôt tendres, nappés d'une sauce sucrée et salée et légèrement parfumée avec des bâtonnets de gingembre frais.<br />
<br />
La base de cette recette est composée de nuoc mam, cette sauce de poisson en saumure caractéristique de la cuisine vietnamienne, de sucre, d'échalote, d'ail, de poivre et de gingembre. Sauce dans laquelle on fait revenir nos morceaux de poulet - morceaux qui conservent pour la cuisson la peau de la volaille. On le détaille souvent en morceaux de la taille d'une bouchée - pouvant être facilement attrapée et avalée. Habituellement, on utilise les cuisses. Une des techniques est de les désosser en conservant la peau sur la viande. Mais ne pas jeter les os et plutôt les ajouter dans la sauce pour donner du goût. Enfin, un peu de coriandre fraiche viendra donner la touche finale pour cette recette.<br />
<br />
Mais que boire avec? Ce plat asiatique associe un mélange sucré-salé et une touche à la fois parfumée et épicée du gingembre. Je me suis donc tourné vers un Côtes-du-Rhône en rouge et plus spécialement une bouteille de <b>Terre des Galets du Domaine Richaud, un 2011</b>. Avec ses 2 années et demi derrière lui, il est prêt à boire.<br />
<br />
On y retrouve toutes ses caractéristiques : un fruité très aromatique avec des notes florales. Au goût, on est sur le fruit complété par de légères épices. Les cépages utilisées (grenache 40%, carignan 30%, syrah 25%, mourvèdre 5%.) permettent d'aboutir à cet équilibre. Le poulet et ses morceaux de gingembre y glissent naturellement. Marcel Richaud a encore réussi à démontrer qu'il est l'un des producteurs les plus en vue dans la Vallée du Rhône.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<a href="http://4.bp.blogspot.com/-MkVXVnWpezg/UzhRYKZURCI/AAAAAAADnNo/WWxcBt8HSaM/s1600/IMG_2664.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://4.bp.blogspot.com/-MkVXVnWpezg/UzhRYKZURCI/AAAAAAADnNo/WWxcBt8HSaM/s1600/IMG_2664.JPG" height="213" width="320" /></a></div>
Il est présent sur de plus en plus de tables de restaurants italiens. Il est servi accompagné d'un vin liquoreux provenant de Toscane, le Vin Santo. Et à chaque biscuit pris, on a cette impression de sombrer de plus en plus dans le péché que le Vin Santo permettra de nous racheter.<br />
<br />
Le cantucci date de la fin du XIXe siècle et on doit son succès à plusieurs éléments : son créateur, le pâtissier Antonio Mattei et plusieurs évènements, les expositions italiennes de 1861 et 1880 et les expositions universelles de Londres en 1862 et de Paris en 1867 (où récompenses après récompenses, ils se doteront de leurs lettres de noblesse).<br />
<br />
Son nom original est le "<b><i>Cantucci de Prato</i></b>" et a été créé par Antonio Mattei, un pâtissier qui s'était installé dans cette ville de Toscane en 1858. Le principe du cantucci est d'être un "biscotti" - un biscuit - qui, littéralement, a été cuit deux fois. Car c'est son secret. Après avoir fait l'objet d'une première cuisson, le cantucci est sorti du four, coupé en tranches régulières d'environ 1cm et ensuite remis au four pour prendre cette belle couleur dorée sur chacune de ses faces.<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://3.bp.blogspot.com/-VoF8nCHRJDo/UzhRVk4FDiI/AAAAAAADnNg/o-WU1S3PmDk/s1600/IMG_2667.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><br /></a><a href="http://3.bp.blogspot.com/-VoF8nCHRJDo/UzhRVk4FDiI/AAAAAAADnNg/o-WU1S3PmDk/s1600/IMG_2667.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="http://3.bp.blogspot.com/-VoF8nCHRJDo/UzhRVk4FDiI/AAAAAAADnNg/o-WU1S3PmDk/s1600/IMG_2667.JPG" height="320" width="213" /></a></div>
<br />
La recette originelle, on en trouve une trace dans un vieux catalogue de l'exposition italienne de 1861:<br />
<blockquote class="tr_bq">
<i>"Biscotti aromatizzati con anaci, di pasta secca e quindi facili a conservarsi, d'altronde porosi, friabili, permeabilissimi, sono i Cantucci du Prato in Toscana che esibi il signor Antonio Mattei, che ne fabbrica ivi ogni anno per 40 mila dozzine, ed a centesimi 48 la dozzina si esitano per Firenze, Livorno, Pisa e altre citta d'Italia, et all'estero per l'Egitto"</i></blockquote>
Car la recette originale est parfumée est à l'anis. Aujourd'hui, on y ajoute aussi des zestes de citron et un peu de Vin Santo, pour apprendre à la pâte dans quel liquide elle exprimera toute sa saveur.<br />
<br />
Pour servir ces cantucci - faits maison - j'ai opté pour un <b>Vin Santo de la Fattoria Santa Vittoria</b> située à Arezzo en Toscane. Il est préparé à base de divers cépages, incluant du Trebbiano, Malvasia et du Grechetto. Les raisins sont séchés naturellement pendant 4 mois puis mis à macérer pendant 4 à 6 ans dans des petits fûts en bois. Le Vin Santo prendra alors cette couleur de miel ambré et exprimera cette odeur de figues sèches et d'amandes. Au goût, c'est une douceur sucrée qui se révèle avec une jolie note de fruits confits. A se damner.<br />
<br /><div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<tr><td style="text-align: center;"><a href="http://2.bp.blogspot.com/-i14su9X5gO0/UzhF3w-hzqI/AAAAAAADnNQ/TgDygJGvHvI/s1600/IMG_2662.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="http://2.bp.blogspot.com/-i14su9X5gO0/UzhF3w-hzqI/AAAAAAADnNQ/TgDygJGvHvI/s1600/IMG_2662.JPG" height="320" width="213" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Couverture du BEEF! n°1</td></tr>
</tbody></table>
La mode des MOOCs (ce mélange entre le magazine et le livre - soit "MOOC" en anglais) continue de déferler dans le domaine de la cuisine. Après le désormais célèbre <a href="http://www.180c.fr/">180°C</a>, c'est au tour de la viande, du steak, de la barbaque d'être à l'honneur. <b>BEEF!</b> C'est avant tout une <a href="http://www.guj.de/en/world-of-media/beef-deu/">revue allemande</a>, lancée en 2009, qui fait l'objet pour la première fois son adaptation dans la langue de Molière. <div>
<br /></div>
<div>
L'édito annonce la couleur "<i>même en cuisine, nous avons des leçons à apprendre de nos voisins allemands</i>", et de continuer à vanter les plaisirs offerts par la bonne vieille MAP, cette machine à pain qui défrayait les chroniques des blogs voici peut être 5 ou 6 ans. <div>
<br /></div>
<div>
Après cette première étape d'anti-chauvinisme bien trempé, où l'éditeur a décidé d'en payer une tranche, on tourne les pages. Les caciques du genre sont réunis : exceptionnelles photos avec les produit et histoires magnifiés, portés sur leur piédestal.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
Au menu de ce premier numéro, le steak. Un récit - traduit de l'allemand - d'un rédacteur à la recherche du meilleur steak du monde. Mais à côté, les portraits du boucher Yves-Marie le Bourdonnec ou du créateur de beurres, Jean-Yves Bordier. Et en guise de fil rouge, un article sur le Laguiole, sans qui, aucune viande ne pourrait être dégustée - ni beurre étalé. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
Entre deux, un passage par le Japon, par des recettes autour du barbecue ou des fameux "burgers de luxe". Dans ce numéro, tout y est pour fêter le boeuf : comment le choisir, comment le cuire, comment l'aimer. Et quelques recettes. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
A sa lecture, je l'avoue, BEEF! n'a pas fait son effet boeuf. Les dossiers intéressants interviennent bien après avoir ouvert la revue, après s'être perdu dans un dédale de cuisine japonaise et d'histoire de la sauce soja. On est loin de la promesse de la couverture et de son entrecôte. Avant d'arriver à son plat de résistance, le ventre est baigné par des parfums de poissons. Et donc, on arrive difficilement à y entrer car on ne comprend pas la romance, l'histoire dans laquelle l'éditeur veut nous emmener. Je suis perdu.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
Et une fois que l'on tourne la dernière page, une question demeure : que pourra contenir le prochain numéro, attendu pour la fin du mois de Juin. Que raconter de plus sur le "boeuf" ? </div>
</div>
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://2.bp.blogspot.com/-cZc00tmtU7k/USj_wp8eHCI/AAAAAAADZ5I/eXvn5DKPOrM/s1600/image1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="http://2.bp.blogspot.com/-cZc00tmtU7k/USj_wp8eHCI/AAAAAAADZ5I/eXvn5DKPOrM/s320/image1.jpg" width="240" /></a></div>
<br />
<br />
Tout remonte au XVIème siècle, date à laquelle les Espagnols occupent la Sicile et font de Modica le chef lieu de leur nouvelle colonie. A cette époque, les Espagnols décident d'introduire un mode de fabrication du chocolat, qu'eux mêmes ont appris des Aztèques. Encore aujourd'hui, on trouve ce mode de fabrication dans quelques endroits d'Espagne (notamment à Alicante), de Mexique ou du Guatemala.<br />
<br />
Mais quelle est cette recette qui fait un chocolat aussi granuleux, incluant des morceaux de sucre ? La spécificités, c'est une cuisson dite à "froid".<br />
<br />
En pratique, le cacao est chauffé afin de le rendre lisse. A la température de 40°C, on ajoute du sucre brun, des épices (comme de la cannelle, de la vanille, du gingembre, du poivre) voire des zestes de citron ou d'orange. Pendant toute la présentation, la température ne dépasse jamais les 35 ou 40°C ce qui empêche de faire fondre les cristaux de sucre qui restent donc intacts. Par la suite la pâte est versée dans des moules rectangulaires. Une fois figé, le chocolat contient encore des bulles d'air et a une couleur noir foncé avec des nuances de brun et une texture granuleuse.<br />
<br />
Et surtout un goût exceptionnel. Aucun ajout de graisses végétales, de lait ou de lécithine de soja. Que du cacao, du sucre et des épices !<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://1.bp.blogspot.com/-YtEK9m_Rsgw/USj_965V25I/AAAAAAADZ5Q/xqui021bZWU/s1600/image2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="http://1.bp.blogspot.com/-YtEK9m_Rsgw/USj_965V25I/AAAAAAADZ5Q/xqui021bZWU/s320/image2.jpg" width="320" /></a></div>
<br />
<br />
Pour ma part, je ne fais qu'une chose avec : du chocolat chaud. Surtout quand les températures diminuent. Comme aujourd'hui.<br />
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</script></div>Benoit Tabakahttp://www.blogger.com/profile/05364873892542724442noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9869629.post-24588668925980228722011-10-02T19:58:00.001+02:002011-10-02T20:01:56.032+02:00Tarte fine tomato-mozza<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-mQyYv2AyafY/ToilpwMSErI/AAAAAAAAiHA/UNpAj7icmok/s1600/blog+2.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="http://4.bp.blogspot.com/-mQyYv2AyafY/ToilpwMSErI/AAAAAAAAiHA/UNpAj7icmok/s320/blog+2.jpg" width="213" /></a></div>Un classique, un grand classique sans nul doute. Mais quand on arrive à trouver (grâce à la <a href="http://www.laruchequiditoui.fr/">RucheQuiDitOui</a> dont j'ai <a href="http://gourmandises.blogspot.com/2011/09/dites-oui-la-ruche-qui-dit-oui.html">testé</a> le concept voici une semaine) de belles tomates coeur de boeuf, gorgées de parfum et de saveurs, on n'y résiste pas. Surtout quand une belle mozzarella au lait de blufonne me tombe sous la main.<br />
<br />
<b>Ingrédients :</b><br />
- 1 rouleau de pâte feuilletée<br />
- 2 belles tomates coeur de boeuf<br />
- 1 mozzarella<br />
- 1 pincée d'origan<br />
- Sel et poivre<br />
<br />
Tout d'abord, faire préchauffer le four à 210°C.<br />
<br />
Sur une plaque allant au four, disposer un feuille de papier sulfurisé.<br />
<br />
Découper un cercle d'environ 20cm de diamètre dans votre rouleau de pâte feuilletée. Le disposer sur la plaque allant au four. Mettre l'ensemble au frigo.<br />
<br />
Prendre un couteau "filet de sole". Ce couteau a une particularité : la lame très souple permet de faire des tranches fines. A défaut, bien aiguiser son couteau.<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/-3Z9gnSzFjF4/ToilpMu_teI/AAAAAAAAiG8/jO10r2aEXko/s1600/blog+1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="320" src="http://1.bp.blogspot.com/-3Z9gnSzFjF4/ToilpMu_teI/AAAAAAAAiG8/jO10r2aEXko/s320/blog+1.jpg" width="213" /></a></div><br />
Découper les tomates en de fines tranches. De même, après avoir égoutter la mozzarella, la découper en de fines tranches (et couper chaque tranche en deux).<br />
<br />
Disposer les tranches en alternant les tomates et la mozzarella. Faire le tour de la pâte feuilletée et le centre. Saler et poivrer. Saupoudrer un peu d'origan sur le dessus.<br />
<br />
Enfourner pour environ 45 minutes. Si les tomates ne vont pas rendre de jus, cela ne sera pas le cas de la mozzarella. La cuisson sera bonne une fois que le liquide se sera évaporé.<br />
<br />
Servir avec une petite salade de mâche. Cela tombe bien, cela commence à être la saison.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<b><a href="http://www.laruchequiditoui.fr/">LaRucheQuiDitOui</a></b> est un site qui justement a décidé de mettre en oeuvre, grâce aux nouvelles technologies, ce concept. Le principe est simple. Toute personne peut ouvrir une ruche, c'est à dire un endroit qui va rassembler des potentiels consommateurs : amis, famille, voisins, etc. Ensuite, le responsable du la Ruche va pouvoir aller choisir dans le catalogue des producteurs qui ont décidé d'y participer. Enfin, des offres sont proposées régulièrement aux consommateurs.<br />
<br />
Découvert au détour d'un tweet, j'ai tenté l'expérience. A Paris, il existe peu de Ruches, mais une se situe à proximité de mon domicile. Celle qui est hébergée par le Comptoir Général (Quai de Jemmapes, dans le 10e arrondissement). Après une inscription, je suis arrivé dans la Ruche à quelques jours de la première vente.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/-T3OAiNiR54w/Tn8nLraii_I/AAAAAAAAiGc/vxprZf9mO4Q/s1600/LaRuche+034.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="320" src="http://1.bp.blogspot.com/-T3OAiNiR54w/Tn8nLraii_I/AAAAAAAAiGc/vxprZf9mO4Q/s320/LaRuche+034.jpg" width="213" /></a></div>Au menu : fruits (pommes, poires) et légumes (blettes, tomates rondes et coeur de boeuf, betteraves, carottes) bios, viande de boeuf et de veau, escargots, laitages (fromages, yaourts), bière, pains bios, etc.<br />
<br />
La passage de la commande se fait comme sur tout site internet : vous sélectionnez les produits désirés, vous les mettez dans votre panier et ensuite vous payez avec votre carte bancaire.<br />
<br />
Mais ce que vous payez, c'est le montant "maximal". Pourquoi ? Car, un producteur ne se déplacera et n'acceptera de vendre ses produits qu'à partir d'une certaine quantité (le déplacement a un coût, etc.). Donc, si le quota minimum est atteint : le produit vous est acquis et le montant vous sera facturé. A l'inverse, si le quota minimum n'est pas atteint : le produit ne vous sera pas livré par le producteur, le montant ne vous sera ni facturé, ni débité.<br />
<br />
Un exemple : le colis de 10kg de boeuf (pour 150 euros, soit un 15€/kg) n'a trouvé que deux personnes intéressées. Le seuil à partir duquel le producteur s'engageait à livrer était lui fixé à 6 commandes. Mais ce n'est que partie remise.<br />
<br />
Quelques idées de prix : tomates bios 2,25€/kg, tomates coeur de boeuf bio 2,75€/kg, betterave bio : 2,30€/kg, jarret de veau 17,20€/kg, etc ...<br />
<br />
Commande est donc passée le samedi. Le mercredi, la date limite est atteinte et le contenu final du panier est connu. Rendez-vous est alors pris samedi matin (le 24) pour se rendre au Comptoir Général chercher ses produits mais surtout rencontrer les producteurs et goûter les produits proposés mais pour lesquels on peut hésiter à passer commande.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-G5B5g1yz91s/Tn8nOfajSLI/AAAAAAAAiGg/21N4WkZ8L1Q/s1600/LaRuche+035.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="http://4.bp.blogspot.com/-G5B5g1yz91s/Tn8nOfajSLI/AAAAAAAAiGg/21N4WkZ8L1Q/s320/LaRuche+035.jpg" width="213" /></a></div>J'avoue, j'ai découvert à cette occasion des rillettes de boeuf (à la graisse d'oie), une terrine de boeuf aux pruneaux et l'étonnante (mais rafraichissante) terrine de boeuf à la menthe poivrée. Idem, la bière "triple" de la brasserie de Chevreuse. Une découverte.<br />
<br />
En deux mots : laissez vous tenter. Commencez par acheter des produits connus. Juste pour vous donner une excuse pour aller sur place et tester d'autres produits. Pour rencontrer les producteurs, discuter avec eux. Certains vous livreront même des recettes pour travailler leurs produits.<br />
<br />
La prochaine vente de la Ruche "Comptoir Général" aura lieu le 1er octobre pour une livraison le 8 octobre.<br />
<br />
<b>La Ruche Qui dit Oui : </b><br />
<a href="http://www.laruchequiditoui.fr/">http://www.laruchequiditoui.fr/</a><div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<strong>Ingrédients : </strong><br />
<br />
2 rouleaux de pâte feuilletée.<br />
<br />
<strong>Ananas rôti</strong><br />
1 ananas bien mûr<br />
1 gousse de vanille<br />
150g de sucre <br />
7 lamelles de gingembre<br />
25cl d'eau<br />
150g de purée de banane<br />
20g de rhum brun<br />
40g de jus de citron<br />
<br />
<strong>Crème d'amande</strong><br />
40g de sucre glace<br />
20g de poudre d'amande<br />
20g de poudre de noix de coco<br />
le zeste d'un quart de citron vert<br />
5g de Maizena<br />
30g de beurre à température ambiante<br />
25g d'oeufs<br />
5g de rhum brun<br />
1 pincée de gingembre râpé fin<br />
90g de crème pâtissière<br />
<br />
<a href="http://2.bp.blogspot.com/_BTZJCf1p5DY/TSIihoovzUI/AAAAAAAAb-E/YK1wvqDCmHY/s1600/DSCN1352.JPG"><img alt="" border="0" src="http://2.bp.blogspot.com/_BTZJCf1p5DY/TSIihoovzUI/AAAAAAAAb-E/YK1wvqDCmHY/s320/DSCN1352.JPG" style="clear: both; float: right; margin: 0px 10px 10px 0px;" /></a><br />
<br />
Tout d'abord, il faut préparer le sirop dans lequel vous allez faire rôtir l'ananas. Mettre le sucre dans une casserole et laissez-le caramélise sur feu doux jusqu'à ce qu'il prenne une teinte ambrée foncée. Ajouter alors la gousses de vanilles grattée, le gingembre puis l'eau. Portez à ébullition le sirop et ajouter la purée de banane, le rhum et le jus de citron. <br />
<br />
Faire préchauffer le four à 230°C.<br />
<br />
Peler l'ananas, le couper en 4 et retirer le coeur. Mettre les morceaux d'ananas dans un plat allant au four et napper avec le sirop réaliser auparavant. Glisser au four pendant 30 minutes en arrosant régulièrement l'ananas avec le jus. Laisser égoutter l'ananas et le laisser refroidir. <br />
<br />
Découper un premier quart d'ananas en fine lamelles. Pou réaliser une galette, il vous faut uniquement un quart d'ananas. Vous pouvez donc congeler les autres morceaux pour vos prochaines galettes !<br />
<br />
Préparer ensuite la crème d'amande. Premièrement préparer la crème pâtissière (vous pouvez trouver une recette facilement sur internet). <br />
<br />
Mélanger le sucre glace, les poudres, le zeste de citron vert et la Maizena. Dans une cuve, mélanger le beurre afin de l'assouplir et ajouter le mélange poudres/sucre puis les oeufs progressivement. Ajouter alors le rhum, le gingembre et la crème pâtissière.<br />
<br />
Monter ensuite la galette des Rois. Sur un disque de pâte feuilletée, répartir la crème parfumée à la noix de coco et les morceaux d'ananas rôti. Mouiller les bords et superposer le second disque de pâte feuilletée. Mettre l'ensemble au frigo pendant une heure. <br />
<br />
Pendant ce temps, faire préchauffer le four à 230°C. Dorer au jaune d'oeuf la galette. Abaisser la température à 180°C et mettre la galette au four pendant 45 minutes. C'est prêt.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<strong>Ingrédients (pour 4) :</strong> <br />
- 240g de riz Vialone nano (ou un riz à risotto)<br />
- 1 petit oignon<br />
- 1 verre de vin blanc<br />
- Liquide de cuisson du velouté de châtaignes <br />
- Si besoin, un peu de bouillon de volaille <br />
- noix de beurre<br />
- Quelques châtaignes sous vide<br />
- Copeaux de parmigiano de 24 ou 36 mois.<br />
- huile d'olive<br />
<br />
Tout d'abord, faire réchauffer les liquides. <br />
<br />
Dans une large poêle (façon Wok) et à feu vif, mettre 3 cuillères à soupe d'huile d'olive. Faire revenir l'oignon. Ajouter alors le riz et le faire torréfier à sec. Une fois que les grains deviennent un peu translucides, ajouter le vin blanc et le faire s'évaporer en mélangeant régulièrement le riz. <br />
<br />
Ajouter alors louche après louche le liquide de cuisson du velouté. Attendre que la première louche ait été absorbée pour ajouter la suivante et ainsi de suite. Pendant tout le temps de cuisson, mélanger le riz en formant des "8".<br />
<br />
Au bout de 10min et parallèlement, faire revenir les châtaignes dans une poêle pour les faire réchauffer.<br />
<br />
Une fois que le riz a atteint le niveau de cuisson qui vous satisfait (entre 15 et 20min environ mais surtout goutter à plusieurs reprises le riz), enlever la poêle du feu et mettre dessus le beurre. Couvrir et laisser reposer 2/3 minutes. <br />
<br />
Mélanger rapidement l'ensemble. Servir dans des assiettes individuelles en accompagnant le risotto de quelques châtaignes et copeaux de parmigiano.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<strong>Ingrédients :</strong><br />
- 300g de châtaignes sous vide/congelées (ou en conserve sous réserve qu'elles ne soient pas dans un "jus")<br />
- 1/2 litre de lait<br />
- 1 petit oignon<br />
- 1 feuille de laurier<br />
- noix de beurre<br />
- 1 litre de bouillon de volaille<br />
- du parmigiano de 24 ou 36 mois.<br />
<br />
Tout d'abord, dans une casserole, mettre les châtaignes avec le lait et laisser frémir 10 minutes en remuant de temps en temps. <br />
<br />
Dans une autre casserole, mettre une noix de beurre à fondre. Ajouter alors l'oignon émincé finement et le laurier. Laisser fondre l'ensemble quelques minutes. Ajouter alors les châtaignes avec le lait de cuisson et le bouillon de volaille. Saler légèrement. <br />
<br />
Laisser cuire l'ensemble pendant une vingtaine de minutes. <br />
<br />
Mixer les châtaignes en ajoutant progressivement le liquide de cuisson (en enlevant, auparavant la feuille de laurier). Vous devez obtenir une consistance à la fois crémeuse et fluide. A priori, la moitié du liquide de cuisson doit suffire. <br />
<br />
Ajuster le sel et le poivre. Servir avec quelques copeaux de parmigiano. Vous pouvez ajouter quelques noisettes torréfiées à sec dans une poêle. <br />
<br />
NB: ne jeter pas le liquide de cuisson ! Il peut vous servir à faire un risotto (cf recette à venir ;)<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
Ingrédients (pour 4 petites portions) :<br />
- 250g de crème de marrons vanillée<br />
- 1 c.a.s. de sucre fin<br />
- 1 c.a.c. de rhum<br />
- 25g de beurre à température<br />
- 75g de crème fleurette froide<br />
- Quelques marrons glacés pour le décor<br />
<br />
Tout d'abord, mettre au frigo un bol et les batteurs électriques de votre robot. C'est l'idéal pour obtenir une belle chantilly (car on va devoir battre en chantilly la crème fleurette). <br />
<br />
Au fouet, mélanger le beurre avec le sucre fin. Ajouter alors la crème de marrons et mélanger longuement au fouet afin d'obtenir une consistance totalement homogène. Puis ajouter le rhum. <br />
<br />
Battre au fouet la crème fleurette afin d'obtenir une chantilly ferme. <br />
<br />
Mettre 1/3 de la chantilly dans le bol avec la crème de marron. l'incorporer en faisant des mouvements de bas vers le haut à la spatule. L'objectif est de ne pas casser la chantilly et de donner à la crème de marrons une consistance mousseuse. Ajouter ensuite le reste de chantilly en deux étapes. <br />
<br />
Une fois que vous avez une consistance homogène, la répartir dans des petits ramequins (soit à la cuillère, soit à la poche à douille). Mettre au frigo jusqu'au moment de servir. Juste avant le service, déposer sur chaque portion un marron glacé ou des brisures.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<strong>Ingrédients (pour 4) :</strong><br />
2 grenades<br />
20g de sucre<br />
Un morceau de pain brioché<br />
2 oeufs<br />
50g de sucre<br />
250g de mascarpone.<br />
<br />
Tout d'abord, extirper le jus des grenades. Il vous en faut environ 20cl. Une des solutions est de mettre les graines dans le bol de votre robot, de mixer l'ensemble et de passer le tout au tamis. Conserver quelques graines pour la décoration.<br />
<br />
Faire chauffer le jus de grenade dans une casserole avec 20g de sucre. Laisser réduire de moitié.<br />
<br />
Dans une grande casserole, faire bouillir de l'eau.<br />
<br />
Parallèlement dans un bol, mettre les jaunes d'oeufs et la moitié du sucre et mélanger l'ensemble au fouet. Continuer à mélanger l'ensemble au fouet en mettant la préparation à faire chauffer au bain-marie. Mélanger au fouet électrique jusqu'à obtenir une consistance élastique (vous devez former un sabayon).<br />
<br />
Mélanger ensemble le mascarpone et le mélange oeuf/sucre.<br />
<br />
Dans un autre bol, battre en neige les blancs d'oeufs en ajoutant le reste du sucre. Continuer à battre l'ensemble au bain-marie également afin d'obtenir une sorte de meringue dite "suisse". Ajouter délicatement cette meringue au mélange précédent. Si vous voulez, vous pouvez vous passer de cette étape (mais personnellement, je la conseille afin de "cuire" les blancs en neige rendant l'ensemble plus digeste et surtout évitant que de l'eau retombe après au fond du tiramisu).<br />
<br />
Dans des verrines, mettre un morceau de pain brioché. Mouiller avec le jus de grenade. Recouvrir d'une couche de crème. Puis une tranche de pain, jus de grenade, couche de crème et enfin, une dernière tranche de pain, jus de grenade et une fine couche de crème.<br />
<br />
Couvrir avec du film plastique et mettre l'ensemble au frigo pendant au moins une demi-journée (le mieux est une nuit complète). Servir en mettant quelques graines de grenade.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<strong>Ingrédients : </strong><br />
- 200g de cerneaux de noix<br />
- 3 oeufs<br />
- 100g de sucre<br />
- 1 c.a.s. bombée de farine (j'ai opté pour de la farine de châtaignes).<br />
<br />
Tout d'abord, faire préchauffer votre four à 180°C.<br />
<br />
Prendre une tourtière. Pour ma part, j'ai ressorti les vieilles tourtières en fer blanc. Beurrer la tourtière.<br />
<br />
Mixer les cerneaux de noix afin de les réduire en poudre. Si vous voulez donnez un peu de croquant à votre gâteau aux noix, vous pouvez également mixer un peu plus grossièrement une petite partie des cerneaux de noix.<br />
<br />
Dans un bol, fouetter les jaunes d'oeuf et le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Incorporer alors les cerneaux de noix. Mélanger pour obtenir une pâte plutôt solide.<br />
<br />
Monter les blancs en neige bien ferme. Commencer par incorporer 1/3 des blancs montés en neige afin de donner de la souplesse à la préparation. Une fois que le premier tiers est incorporé, ajouter le deuxième tiers. Puis, une fois fait, ajouter le troisième tiers en prenant soin de soulever la pâte afin de ne pas trop casser les blancs.<br />
<br />
Verser la préparation dans la tourtière. Faire cuire pendant 35/40min au four. Tester la cuisson avec une lame en vérifiant qu'elle ressort sèche.<br />
<div style="clear: both; text-align: LEFT;"><br />
</div><div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
De mon côté, petite déception quant à la texture de la crème, un peu trop "dure" à mon goût. Mais ça allait mieux quand on sortait du frigo le cheesecake une heure avant de le servir. <br />
<br />
<strong>Ingrédients : </strong><br />
(à préparer la veille!)<br />
<br />
Pour la pâte : <br />
200g de biscuits (Petit Lu). Pour ma part, j'ai utilisé 100g de biscuits "Avoine/Céréales/Pabot" et 100g de Petits Lus<br />
40g de beurre environ<br />
<br />
Pour la crème : <br />
600g de Saint-Morêt (surtout pas allégé !)<br />
55g de sucre<br />
3 c.a.s. de farine<br />
2 oeufs et un jaune d'oeuf<br />
1/2 c.a.c. d'extrait de vanille liquide<br />
1 c.a.c. de jus de citron<br />
<br />
50g de crème sure<br />
ou<br />
50g de crème fleurette<br />
2 c.a.s. de lait<br />
2 c.a.s. de jus de citron<br />
<br />
Pour le dessus : <br />
200g de fraises<br />
3 feuilles de gelatine<br />
3 c.a.s. de crème de cassis<br />
1 cuillère à soupe de sucre en poudre<br />
<br />
Pour servir : <br />
300g de fraises<br />
2 c.a.s. de sucre en poudre<br />
<br />
Tout d'abord, faire préchauffer le four à 180°C.<br />
<br />
Prendre un moule à charnière (pour ma part, j'ai utilisé une plaque de cuisson avec cercle de 22cm et 10cm de haut). Beurrer le moule et le recouvrir de papier sulfurisé (le beurre est fait pour "coller" le papier sur les parois).<br />
<br />
Dans un sachet en plastique, mettre les biscuits et les réduire en poudre avec votre rouleau à pâtisserie. Dans un bol, mélanger les biscuits avec le beurre afin d'obtenir une sorte de mixture homogène et collante. <br />
<br />
Répartir cette pâte dans le moule et sur les bords. Bien appuyer fermement. <br />
Mettre au four pendant 10 min. Au bout de ces 10min, retirer du four et faire refroidir (attention, si vous versez la préparation sur la pâte chaude, celle-ci est molle et risque de casser).<br />
<br />
Faire baisser la température du four à 160°C.<br />
<br />
Si vous n'avez pas de crème sure, dans un petit bol, mélanger la crème fleurette, le lait et le jus de citron. Réserver (cela va épaissir).<br />
<br />
Dans un bol, mélanger au fouet le Saint-Morêt. Ajouter alors le sucre puis la farine. Mélanger. Ajouter alors les oeufs, l'un après l'autre et finir avec le jaune. AJouter l'extrait de vanille et le jus de citron. Finir avec la crème sure. Mélanger l'ensemble et le verser délicatement dans le moule (à la louche, progressivement).<br />
<br />
Mettre au four pour 1h. Au bout de ce temps, sortir le cheesecake, enlever le cercle et laisser complètement refroidir à température. Filmer l'ensemble et mettre au frigo pour 24h.<br />
<br />
Le lendemain. Faire tremper les feuilles de gelatine dans de l'eau froide pour les ramollir. Mixer les fraises. Ajouter le sucre. <br />
Dans une petite casserole, faire chauffer la crème de cassis. Quand elle est chaude, ajouter la gélatine. <br />
La faire fondre hors du feu. Verser la gélatine dans les fraises et mélanger. <br />
Délicatement, verser cette préparation sur le dessus du cheesecake. Remettre au frigo. Au bout d'une heure, le dessus du cheesecake a pris. <br />
<br />
Mixer le reste des fraises avec le sucre. Cela donne un petit coulis pour servir avec le cheesecake. Vous pouvez le déguster et surtout .. le dévorer.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<br />
<strong>Ingrédients (pour 2 personnes - enfin 2,5) : </strong><br />
<br />
1/4 de chou rouge<br />
2 petits oignons<br />
1/2 poire comice ou 1 pomme un peu sucrée<br />
1 tranche de lard fumé<br />
1 saucisse de Montbéliard<br />
<br />
Tout d'abord, couper le choux rouge en morceau. Faire blanchir ces morceaux quelques minutes dans de l'eau bouillante (meilleur si vous avez l'estomac un peu fragile .. ah le chou ;).<br />
<br />
Dans une cocotte, mettre à fondre une noix de beurre. Ajouter les oignons émincés, puis le lard coupé en gros morceaux (environ 2cm sur 1 cm). Ajouter alors le chou rouge ainsi que la poire (ou la pomme) coupée en morceaux. Saler légèrement et poivrer. <br />
<br />
Ajouter dessus la saucisse de Montbeliard et environ 20cl d'eau.<br />
<br />
Couvrir et faire cuire pendant environ 30min. Au bout de 30 minutes, découvrir, mélanger et continuer à faire cuire jusqu'à évaporation du jus de cuisson. Servir !<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<strong>Ingrédients : </strong><br />
Pour la pâte : <br />
- soit deux disques de pâte feuilletée (si vous voulez ne pas vous embêter)<br />
- soit faire vous même la pâte avec : <br />
10g de levure fraîche<br />
2 oeufs<br />
400g de farine<br />
15g de beurre à température ambiante<br />
<br />
Pour la farce : <br />
- 2 c.a.s. d'huile d'olive<br />
- 400g de filet de porc ou de poulet coupé en lamelles<br />
- 2 poivrons rouges grillés (en conserve)<br />
<br />
Pour le rustido :<br />
- 2 c.a.s. d'huile d'olive<br />
- 3 oignons hachés grossièrement<br />
- 1 gousse d'ail hachée<br />
- 1 c.a.s. de persil haché<br />
- 1 chorizo coupé en tranches (si vous ne trouvez pas de chorizo frais, vous pouvez utiliser l'équivalent de 1/3 de chorizo doux, si possible très tendre que vous trouvez en supermarché).<br />
<br />
Préparer la pâte. Dans une tasse délayer la levure fraîche avec 20cl d'eau tiède avec 1 pincée de sel. Laisser reposer pendant 10 minutes. Sur le plan de travail, mettre la farine et y creuser un puits. Ajouter 2 oeufs battus en omelette, l'eau tiède et la levure et une pincée de sel. Pétrir l'ensemble pendant 10 minutes. Ajouter alors le beurre coupé en morceau et pétrir à nouveau pendant 10 minutes. Mettre la pâte dans un bol et la laisser doubler de volume pendant environ 1h30 couverte d'un torchon dans un endroit chaud. <br />
<br />
Préchauffer le four à 180°C.<br />
<br />
Dans une poêle, faire chauffer l'huile d'olive. Ajouter les oignons et laisser cuire l'ensemble pendant 10 minutes. Ajouter alors l'ail et le persil et laisser cuire à nouveau pendant 5 minutes. Ajouter le chorizo coupé en lamelles et faire cuire pendant 2 à 3 minutes. Réserver. <br />
<br />
Dans la même poêle, faire chauffer l'huile d'olive et ajouter les morceaux de viande. Faire cuire pendant une dizaine de minutes en remuant régulièrement. Saler et poivrer.<br />
<br />
Diviser la pâte en deux morceaux et étaler le premier en un cercle. Poser ce cercle sur une plaque huilée (ou dans une tourtière). Ajouter le rustido et recouvrir avec la viande et ensuite les poivrons coupés en lamelles. Recouvrir avec le second disque de pâte et percer un trou au milieu. <br />
<br />
Badigeonner la tourte avec un jaune d'oeuf, si besoin, légèrement dilué dans de l'eau. Mettre au four pendant 45 minutes jusqu'à ce que la tourte soit bien dorée. Servir à la sortie du four.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
Ingrédients : <br />
- Des oeufs<br />
- le même poids en sucre<br />
- le même poids en beurre<br />
- le même poids en farine<br />
- levure chimique (1 sachet pour 4 oeufs)<br />
<br />
Tout d'abord, faire préchauffer son four à 180°C. <br />
<br />
Prendre un moule à cake. Le mieux, en fer blanc et non en silicone. Si le silicone a le mérite de la facilité de démoulage, l'intérêt d'un moule en fer blanc est de créer une croûte extérieure non seulement sur le dessus, mais sur les côtés du gâteau. Beurrer le moule à cake. Mettre au frigo.<br />
<br />
Dans un plat, mettre le beurre et commencer par l'assouplir à la cuillère. Ajouter alors le sucre et continuer à mélanger avec le beurre jusqu'à obtenir une sorte de pommade homogène. Une fois la consistance obtenue, ajouter - un à un - les oeufs. Avant d'ajouter un nouvel oeuf, il faut s'assurer que le précédent a été absorbé par la pâte. <br />
<br />
Ajouter alors la farine, progressivement et tout en mélangeant la préparation. Une fois la préparation homogène, ajouter la levure chimique. Mélanger une nouvelle fois et verser l'ensemble dans le moule à cake.<br />
<br />
Mettre au four pendant 45 minutes (en testant le centre du gâteau avec un pic pour vérifier que celui-ci est bien cuit). Démouler le cake à la sortie du four et placer le sur une grille afin de permettre à l'eau de s'évaporer. Une fois le cake froid, l'emballer dans du film plastique. <br />
<br />
Il sera juste meilleur, demain.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
Ingrédients : <br />
- 600g de reste de viande coupée en fines lanières<br />
- 4 grosses échalotes<br />
- 40g de beurre<br />
- 10cl de vin rouge<br />
- 10cl de fond de veau<br />
- Pomme de terre, panais et carottes (pour en faire une purée).<br />
- Chapelure<br />
<br />
Faire préchauffer votre four à 180°C.<br />
<br />
Préparer la purée en faisant cuire à l'eau les pommes de terres, panais et carottes épluchées. Une fois que les légumes sont cuits, les réduire en purée (soit au presse purée, soit à la fourchette) en ajoutant une noix de beurre. Saler et poivrer. Réserver.<br />
<br />
Dans une poêle, mettre le beurre à fondre. Ajouter les échalotes coupées en fins morceaux. Laisser fondre pendant une dizaine de minutes. Ajouter alors la viande, le vin rouge et le fond de veau et laisser cuire pendant 20 minutes. <br />
<br />
Beurrer un plat à gratin. Y mettre la viande. La recouvrir avec la purée. Saupoudrer de chapelure et de beurre. <br />
<br />
Mettre à cuire au four pendant 30 minutes. Servir.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<b>Ingrédients :</b><br />
- 1kg de macreuse (ficelée)<br />
- 1kg de carottes en botte<br />
- 1 oignon<br />
- 75cl de vin rouge<br />
- 40cl de fond de veau<br />
- 2 branches de romarin<br />
- 3 c.a.s. d'huile<br />
- 40g de beurre<br />
- 1 c.a.s. de sucre<br />
<br />
Dans une cocotte en fonte (c'est mieux), faire chauffer l'huile. Faire saisir la viande à feu vif sur chacune de ses faces. Emincer l'oignon et ajouter le à la cocotte. Laisser cuire à feu moyen pendant 5 minutes en remuant.<br />
<br />
Ajouter alors le vin rouge, porter à ébullition pendant quelques minustes et ajouter alors le fond de veau et le romarin. Saler et poivrer. Mettre le couvercle sur la cocotte et laisser cuire pendant 2h sur feu doux. Penser à retourner votre rôti toutes les 30 minutes.<br />
<br />
Eplucher les carottes en gardant le début du vert. Dans une poêle, faire fondre le beurre. Faire dorer les carottes quelques minutes. Saupoudrer de sucre et laisser légèrement caraméliser quelques minutes. Ajouter les carottes dans la cocotte au bout de la 2e heure de cuisson.<br />
<br />
Couvrir et prolonger la cuisson encore 1 heure sur feu doux. La viande sera prête une fois que le vin se sera transformé en une consistance sirupeuse. <br />
<br />
Servir la viande avec les carottes. Régalez-vous.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
Ingrédients (pour 4) :<br />
- 1 rouleau de pâte feuilletée<br />
- 2 chèvres (8/10cm de diamètre, 3cm d'épaisseur) pas trop frais (pour éviter qu'ils s'écrasent trop à la cuisson<br />
- du miel<br />
- romarin en branches.<br />
<br />
Faire préchauffer le four à 210°C. <br />
<br />
Couper les chèvres dans le sens de l'épaisseur.<br />
<br />
Placer des tourtières individuelles sur le feu de votre cuisinière et y mettre dans chaque une cuillère à soupe de miel. Pour cette recette, j'ai pris un miel neutre (miel de rhododendron) mais vous pouvez opter pour un miel parfumé (lavande, thym, romarin). <br />
<br />
Faire caraméliser le miel dans les ramequins. Ajouter alors le romarin effeuillé. A ce moment là, au contact de la chaleur, le parfum du romarin va commencer à se libérer. C'est bon, vous le sentez ce parfum ? Retirer du feu.<br />
<br />
Ajouter dans chaque tourtière la moitié d'un chèvre coupé.<br />
<br />
Découper des ronds dans votre pâte feuilletée et recouvrer les chèvres avec la pâte feuilletée en prenant soin de bien rabattre vers l'intérieur la pâte feuilletée sur les bords.<br />
<br />
Placer l'ensemble au four pour environ 15 à 20 minutes, le temps que la pâte prenne une jolie forme bien gonflée et une teinte dorée.<br />
<br />
Démouler sans attendre dans l'assiette de vos convives. Servir avec une petite salade.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<strong>Ingrédients (pour 4 à 6 petits ramequins) :</strong><br />
<br />
- 65g de farine de châtaignes<br />
- 50cl de lait<br />
- 70g de sucre<br />
- 2 oeufs<br />
- 15ml d'eau de vie (pour ma part, j'ai utilisé de l'alcool de myrte).<br />
<br />
Faire préchauffer le four à 180°C.<br />
<br />
Faire bouillir 40cl de lait dans une casserole. En parallèle, mélanger la farine et 10cl de lait en mélangeant progressivement afin d'éviter que des grumeaux se forment. Une fois que le lait commence à fumer, mélanger le lait chaud avec le mélange lait/farine. Remettre sur feu doux le mélange, laisser chauffer pendant une dizaine de minutes en remuant constamment. <br />
<br />
Dans un bol, mélanger le sucre et les oeufs jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Ajouter alors progressivement et en mélangeant constamment le mélange farine/lait. Mélanger jusqu'à obtenir une consistance homogène. Ajouter enfin l'alcool.<br />
<br />
Avec une louche, verser la préparation dans des ramequins. Mettre les ramequins au four pendant environ 40 minutes.<br />
Laisser refroidir et mettre au réfrigérateur pendant 1 à 2 heures.<br />
Servir les flans froids ou légèrement tiédis au four avant de servir.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
L'intérêt de l'ouvrage est double : 1) avoir des recettes pour cuisiner différemment ces produits, autrement que dans un pot au feu classique et ainsi les redécouvrir pour leur goût souvent unique et 2) avoir des explications sur les diverses variétés que l'on peut trouver sur les marchés et ainsi choisir au mieux les racines que l'on veut tester. <br />
<br />
L'ouvrage a été écrit par Laurence Salomon. Elle est chef du restaurant Nature & Saveur à Annecy. Elle est l'auteur de plusieurs ouvrages dont Fondre de plaisir aux éditions Grancher et Chocolat bio, saines tentations aux éditions La Plage.<br />
<br />
Editeur : La Plage<br />
Parution : Septembre 2009<br />
Nombre de pages : 120<br />
Prix : 19,90 €<br />
<br />
<br />
<br />
<div id="ws_embed_code" style="border: 0; font-size: 0; line-height: normal; margin: 10px auto 0 auto; padding: 0; width: 290px;"><object height="202" width="290"><param name="movie" value="http://external.priceminister.com/fmc/pic/0/www/www/20204/product_widget.swf" /><param name="quality" value="high" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="allowScriptAccess" value="always" /><param name="bgcolor" value="ffffff" /><param name="allowFullScreen" value="false" /><param name="flashvars" value="bgcolor1=0x838b9e&bgcolor2=0x75758c&txtcolor=0xffffff&edito=Je vous recommande ce produit :&producttitle=Racines - Du Raifort Au Navet Du Pardailhan&productprice=12,00 €&productid=84593237&producturl=http://www.priceminister.com/offer/buy/84593237/laurence-salomon-racines-du-raifort-au-navet-du-pardailhan-livre.html&productimageurl=/photo/853596853_M.jpg&pseudo=btabaka&language=fr&platform=0/www/www/&" /><embed type="application/x-shockwave-flash" src="http://external.priceminister.com/fmc/pic/0/www/www/20204/product_widget.swf" name="wsmodule" bgcolor="#ffffff" quality="high" wmode="transparent" allowfullscreen="false" allowscriptaccess="always" flashvars="bgcolor1=0x838b9e&bgcolor2=0x75758c&txtcolor=0xffffff&edito=Je vous recommande ce produit :&producttitle=Racines - Du Raifort Au Navet Du Pardailhan&productprice=12,00 €&productid=84593237&producturl=http://www.priceminister.com/offer/buy/84593237/laurence-salomon-racines-du-raifort-au-navet-du-pardailhan-livre.html&productimageurl=/photo/853596853_M.jpg&pseudo=btabaka&language=fr&platform=0/www/www/&" height="202" width="290"></embed></object><br />
<div id="ws_embed_footer" style="background: #838b9e; margin: 0; padding: 0 0 2px 0; width: 290px;"><div style="background: #838b9e; color: white; font-family: Arial; font-size: 10px; font-style: normal; font-weight: normal; line-height: normal; margin: 0 2px; padding: 0; text-align: center;">Découvrez aussi avec <a href="http://www.priceminister.com/" id="PriceWPrd" style="color: white;" target="_blank">PriceMinister</a> : <a href="http://www.priceminister.com/nav/Livres_Cuisine" style="color: white;" target="_blank">livre de cuisine</a>, <a href="http://www.voyagermoinscher.com/recherche/voiture.asp" style="color: white;" target="_blank">Locations De Voiture</a></div></div><img height="1" src="http://logc11.xiti.com/hit.xiti?s=366053&s2=4&p=btabaka::WidgetProduit&di=&" style="border: 0; margin: 0; padding: 0;" width="1" /><img height="1" src="http://logc11.xiti.com/hit.xiti?s=366053&s2=104&p=&di=&" style="border: 0; margin: 0; padding: 0;" width="1" /></div><div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
<strong>Ingrédients : </strong><br />
- 1 rouleau de pâte brisée<br />
- 300g de betteraves<br />
- 500g d'épinards<br />
- 400g de chèvre frais<br />
- 3 oeufs<br />
<br />
<br />
Faites préchauffer le four à 180°C.<br />
<br />
Laver les betteraves et les cuire 40 minutes dans un grand volume d'eau salée (si vous ne trouvez pas des betteraves cuites). Égoutter les betteraves, les peler et les couper en tranches fines de 2mn d'épaisseur.<br />
<br />
Équeuter et laver les épinards. Les faire cuire rapidement à feu doux dans un petite casserole munie d'un couvercle avec une noix de beurre. Égoutter les épinards et les hacher grossièrement.<br />
<br />
Dans un bol, émietter le chèvre frais, ajouter les oeufs battus en omelette et les épinards. Saler et poivrer.<br />
Abaisser la pâte et la placer dans une tourtière. Répartir les lamelles de betteraves et verser le mélange chèvre/oeufs/épinards.<br />
<br />
Mettre au four pendant 30 à 40 minutes. Servir à la sortie du four avec une salade.<br />
<div style="clear: both; text-align: LEFT;"><br />
</div><div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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<br />
Ingrédients :<br />
- 6 poires Comices (pas trop mûres pour éviter qu'elles s'écrasent durant la cuisson)<br />
- 80g de beurre demi-sel<br />
- 6 c.a.s. de sucre roux<br />
- 3 branches de thym<br />
- 1 rouleau de pâte brisée. <br />
<br />
Première étape : préchauffez le four à 180°C.<br />
<br />
Pelez les poires et les couper en deux. Enlevez le coeur et les graines. <br />
Faites fondre dans une tourtière allant au four, sur le feu de la cuisinière le beurre avec le sucre. Cuire jusqu'à ce que le mélange prenne une jolie couleur caramel.<br />
<br />
Retirez du feu et parsemez avec les feuilles de thym. Ajoutez les poires en alternant la face bombée (une fois vers le haut, une fois vers le bas) jusqu'à remplir le plat. <br />
<br />
Recouvrez avec la pâte en prenant soin de la rentrer à l'intérieur du plat sur les bords. Enfournez pour 30 minutes. Démoulez rapidement (2 minutes après la sortie du four) en faisant très attention aux éclaboussures de caramel.<br />
<br />
Servir tiède. Avec soit de la crème, soit, petite variante, une légère cuillère de ricotta.<div class="blogger-post-footer"><script type="text/javascript"><!--
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